Archives pour la catégorie Mobilier et Objets d’Art

L’horlogerie ancienne : petits trésors d’ingéniosité et de beauté absolue

Véritable trait d’union entre l’histoire et la technologie, l’horlogerie ancienne est le reflet d’un patrimoine d’exception, né du savoir-faire hors-pair de nos ancêtres.

 Horlogerie ancienne : témoin d’un voyage fantastique dans le temps

L’horlogerie ancienne hérite du savoir-faire exceptionnel des maîtres horlogers en quête de précision absolue. Depuis l’horloge solaire créée sous l’Antiquité jusqu’à nos jours, les horlogers ont rivalisé d’ingéniosité pour parfaire la mesure du temps et la recherche de précision. L’apparition de l’aiguille des minutes, du balancier et de l’échappement a donné l’essor à la fabrication des horloges du XVIIIe siècle.

Sous le règne de Louis XIV, les talentueux horlogers français tels que Boulle, Jérémie et Balthazar Martinot, réalisent des petits chefs d’œuvre de technologie : pendules dressées sur des chevaux ou des éléphants, cartels incrustés de cuivre, de nacre et d’écaille de tortue…

Pendule aux vestales en bronze de Richond à Paris présentée par Clock Prestige

Horloges, pendules et cartels : de véritables bijoux de technologie

Pendant l’époque Empire, les maîtres horlogers créent des pendules adaptées au style et au mobilier de l’époque. Sur le thème de l’Egypte, les cartels et pendules s’habillent de bronze et mettent en scène des personnages grecs ou romains.

Après la chute de l’Empire, la période Louis XVIII et Charles V revisite le style Napoléonien et s’inspire du romantisme de la littérature. Les horloges de l’époque valorisent les personnages mythiques de l’Antiquité.

Sous Charles V, les horlogers mettent au point de véritables prouesses technologiques pour conjuguer esthétisme et précision. Breguet, Janvier, Madge, Jargensen, Soyer, Inge et Garnier marquent l’histoire de l’horlogerie en signant des cartels et pendules d’exception.

Sous Napoléon III, la pendule se distingue par ses colonnes torsadées en bois, son œil de bœuf bordé de nacre et sa surface en bronze ou en régule.

Petit chef d’œuvre recelant une mécanique de haute précision, l’horlogerie ancienne rythme avec cœur la passion des collectionneurs d’horloges, de pendules et de cartels à travers le temps.

La porcelaine de Meissen : le charme et la finesse de l’or blanc

Inspirée de l’incontournable porcelaine chinoise et japonaise importée en masse au XVIIIe siècle, la porcelaine de Meissen perpétue son succès mondial depuis 300 ans.

Porcelaine de meissen présentée par Galerie Bottger
Porcelaine de Meissen : 1ère porcelaine européenne

Durant le 18ème siècle, les européens amateurs de porcelaine font importer de grandes quantités depuis la Chine et le Japon. En Allemagne, le Prince de Saxe « Auguste Le Fort » est un grand collectionneur de porcelaine. Il décide de mettre en œuvre de grandes recherches pour découvrir le secret de fabrication de la porcelaine.

En 1708, l’alchimiste Friedrich Böttger et le savant Tschirnhaus, missionnés par le Prince,  mettent au point le procédé de fabrication : un certain dosage de kaolin, d’albâtre et de quartz chauffé à plus de 1300°C. La première porcelaine d’Europe est née.

© Galerie Bottger

Manufacture de porcelaine de Meissen : un secret de fabrication bien gardé

Le Prince dépose le brevet en 1709 et débute dans le plus grand secret, à partir du 6 juin 1710, la production de porcelaine dans le château d’Albrechtsbourg à Meissen. Cette véritable forteresse permettra de garder pendant de nombreuses années le secret de fabrication de la porcelaine de Meissen. En 1861, la manufacture déménage non loin du château, à la sortie de la ville.

Meissen : caractéristiques d’une porcelaine d’exception

La porcelaine de Meissen se caractérise par la finesse de ses motifs floraux sur presque toutes ses pièces : services de table, vases, figurines, chandeliers, lustrerie, cadre de miroir, tables et consoles.

La signature emblématique des deux épées bleues entrecroisées symbolise la plus ancienne porcelaine encore convoitée aujourd’hui. Les trois siècles de fabrication valorisent une influence cosmopolite et multiculturelle sur le développement artistique de la porcelaine de Meissen. Aujourd’hui encore, le savoir-faire artisanal perpétue cette marque de fabrique reconnue dans le monde entier.

Les meubles de port : l’exotisme au service du raffinement

Les meubles de port, pièces uniques créées au XVIIIe siècle, sont la marque d’une vague de fabrication prestigieuse dans les villes portuaires françaises telle que Bordeaux.

Commode de port marseillaise en acajou massif XVIIIè présentée par Philippe Glédel

 

Les meubles de port : naissance d’un art raffiné

Pendant le XVIIIe siècle, Bordeaux et son port rayonnent sur le commerce international. Marchandises, esclaves et bois précieux affluent depuis Cuba, les Antilles, l’Amérique et l’Afrique. Les grands armateurs et trafiquants d’esclaves s’installent dans de somptueux hôtels particuliers richement meublés.

Les meubles portuaires : une ode à l’acajou

L’acajou est l’essence même du meuble portuaire. Ce bois exotique massif a été très utilisé pendant le XVIIIe siècle pour la fabrication de ce mobilier d’exception. L’acajou fait son apparition en 1520 en Espagne, acheminé en blocs et planches à bord de caravelles, et en 1595 en Angleterre, pour la construction navale.

Commode de port – Travail d’ébénisterie nantaise – poinçon de Jurande 1772 présentée par Philippe Glédel

Les meubles bordelais : caractéristiques et singularité

Grâce aux quantités de bois jetés sur les quais du port, les ébénistes bordelais créent une vague de meubles élégants et raffinés, destinés à décorer les demeures majestueuses de Bordeaux. L’acajou massif souligne l’exubérance et la richesse du meuble de port, semblable au baroque. D’inspiration Louis XV, les meubles de port reprennent le style rocaille et néoclassique.

Le meuble portuaire déploie une abondance de lignes sculptées et moulurées. La marqueterie s’efface totalement pour laisser s’exprimer les ornementations florales, les ferrures, les courbes galbées et les pieds en volute.

Antiquaire spécialisé dans les meubles de ports.

Antiquité Philippe Glédel
Mobilier 18e, Meubles régionaux, Meubles de port

35300 FOUGERES

Les verreries Legras – Montjoye et Le Verre Français Schneider

Témoins et acteurs de l’histoire de l’art décoratif, ces célèbres noms de verreries françaises signent de véritables chefs d’œuvre et pièces décoratives intemporelles.

François Théodore Legras : maître verrier de l’Art Nouveau

François-Théodore Legras (1839-1916) est l’un des plus célèbres maîtres verriers français de l’Art Nouveau. Originaire des Vosges, il passe son enfance dans un univers bucolique et naturel, ce qui sera par la suite sa principale source d’inspiration pour ses œuvres d’art : la faune et la flore, les paysages composés de lacs et de forêts.

Devenu Directeur de la Verrerie de la Plaine St-Denis en 1866, il fait construire peu à peu un empire industriel composé de 1400 ouvriers sur 20 000m². PDG de Legras et Cie, puis de la Verrerie et Cristallerie de Saint-Denis, ce capitaine industriel est récompensé lors de nombreuses expositions. Avec Gallé, Daum et Lalique, il fait partie des 4 maîtres verriers à la fondation de l’Art Nouveau.

Cette verrerie produit des objets utilitaires destinés aux placards des ménagères, des hôpitaux et des pharmacies. La signature Legras caractérise une verrerie décorative et artistique réalisée avec un verre multicolore, parfois rehaussé d’or, d’émail ou de peinture à froid. Il s’agit également de bouteilles à figures, appelées aussi bouteilles de forme ou carafes-réclames, destinées aux distillateurs.

Verrerie d’art Le Verre Français par Charles Schneider

Maître de l’Art Déco, Charles Schneider est créateur des griffes de verrerie d’art « Le Verre français » et « Schneider », avec son frère Ernest. Audacieuses et singulières, ces deux verreries sont très populaires, aujourd’hui encore. Leurs formes, couleurs et décors témoignent de véritables prouesses techniques pour la fabrication du verre artistique.

Après leur apprentissage à la manufacture de verre Daum à Nancy, les frères Schneider créent leur entreprise « les Verreries Schneider » en 1913 à Epinay-sur-Seine. Le succès est au rendez-vous : ses œuvres sont vendues partout dans le monde et l’entreprise compte 500 employés. Cependant, la Grande Dépression conduira l’entreprise à la faillite en 1938.

La signature Schneider se définit par ses décors très créatifs, sa large variété de verres colorés, ses coupes à bijoux et ses coupes à pieds noirs. Dans les années 1920-1930, Le verre français par Charles Schneider est la plus importante verrerie d’art en Europe.

Eventails anciens : objets précieux de l’histoire de l’Art

Accessoire de mode, symbole de pouvoir, objet de frivolité, signe distinctif de classe sociale, l’éventail déploie un panorama haletant de facettes pour s’adapter en permanence aux modes et aux usages.

Les éventails anciens : entre accessoire de mode et objet d’art

Les éventails soufflent un vent de charme et d’élégance au cœur des antiquités. Leur origine remonterait à l’ère préhistorique. D’abord utilisés pour attiser le feu ou éloigner les insectes des souverains (d’où le nom d’« esmouchoir » ou de « chasse-mouches »), les éventails deviennent peu à peu de véritables accessoires de mode, des œuvres d’art et même des tableaux pliants !

Les éventails sont conçus à partir de matériaux nobles et précieux :

  • les montures sont en nacre, ivoire, écaille, corne, bois précieux et métal
  • les feuilles sont en peau, cuir, papier, chevreau, vélin, soie, satin, ornées de dentelles, plumes, paillettes

En fonction des époques et des influences artistiques, les éventails reprennent les thèmes abordés par l’art pictural : l’histoire, la mythologie, la religion, la vie quotidienne, la découverte de la nature. Les éventails affectionnent particulièrement le thème de l’amour, le mariage, la fidélité, la femme, le temps et la jeunesse. Plus tard, ils auront une vocation davantage publicitaire et humoristique.

Eventails : le raffinement des antiquités d’hier et d’aujourd’hui

Tout en valorisant la légèreté et la finesse des lignes, les éventails se sont diversifiés au fil des époques pour répondre aux exigences de la vie quotidienne. Initialement « au rectangle », les éventails écrans incarnent de petits tableaux portatifs et rigides. Sont apparus ensuite les éventails brisés puis pliés, les éventails palmettes, les éventails en plume…

Source d’émerveillement et d’originalité absolue, ces petits chefs d’œuvre balaient les antiquités d’un souffle de créativité et de savoir-faire. Véritable objets d’art, les éventails anciens invitent amateurs et collectionneurs à un voyage vibrant au cœur de l’histoire de l’art.

Antiquaires spécialisés en éventails sur Anticstore.

Antiquaire de père en fille, Laetitia Georges souhaite vous faire partager sa passion pour les éventails anciens. Objet d’art et d’histoire, accessoire de mode, tableau portatif, reflet des émotions…

– le Curieux Spécialiste de l’éventail et des nécessaires au marché Biron

 

 

Les caves à liqueurs : émergence du nec plus ultra

Joyau d’ingéniosité et de raffinement du XVIIIe siècle, les caves à liqueurs séduisent les plus grands collectionneurs et amateurs de perfection absolue.

Les caves à liqueurs : petits chefs d’œuvres d’exception

Les caves à liqueurs font leur apparition à partir de la fin du XVIIIe siècle. Il s’agit de petits meubles sous forme de coffrets compartimentés destinés à loger flacons et verres à liqueurs. Pendant les époques Empire et Restauration, les caves à liqueurs accompagnent les voyageurs bourgeois pendant les longs déplacements en diligence. Mais la vertu esthétique de ces œuvres d’art primera rapidement sur le caractère utilitaire.

De l’époque Charles V à Napoléon III, les caves à liqueurs rivalisent d’ingéniosité et de créativité pour satisfaire une clientèle aristocratique et financière qui a soif de luxe et de raffinement. Les objets de décoration tels que les caves à liqueurs incarnent vite une référence de l’art de vivre à la française. Devenues le cadeau de mariage incontournable, les caves à liqueurs se multiplient et se diversifient.

Caves à liqueurs : l’art de la perfection poussée à l’extrême

Dans ce contexte où la nouvelle bourgeoisie découvre le luxe et l’abondance, la vente des caves à liqueurs explose en 1835/1840. Les artisans font preuve de minutie et de perfectionnisme pour créer des caves à liqueurs synonymes d’excellence.

Les modèles sobres et rigoureux d’origine sont déclinés dans de multiples formes et matériaux rares. Autour de prouesses techniques et artistiques, les artisans conjuguent le souci du détail, de la qualité et de l’originalité pour créer des caves à liqueurs d’exception :

• Coffrets en acajou, ébène ou bois noirci
• Incrustation de cuivre, nacre, écaille de tortue et d’ivoire,
• Marqueterie de bois précieux, placage de bois de rose,
• Moulures en bronze doré
• Ornementations ciselées
• Cristallerie Baccarat, Clichy, Sèvres, Pantin…

Le large succès a développé l’industrialisation et la démocratisation des caves à liqueurs. A partir de 1900, les caves à whisky anglaises et l’ère de l’Art Déco démodent les caves à liqueurs.

Ces petits chefs d’œuvres perpétuent à travers le temps le raffinement d’un véritable art de vivre français.

Armoire d’Uzès

Armoire d’Uzès : mystère autour d’un meuble peint régional

Petit meuble original et élégant, l’Armoire d’Uzès suscite autour d’admiration que d’interrogation sur ses véritables origines.

Armoire d’Uzès : contexte et description

Créée entre le XVIIe et la fin du XVIIIe siècle, l’Armoire d’Uzès puise son origine dans un contexte encore mystérieux. La ville d’Uzès, élevée premier duché de France au XVIe siècle, marque la frontière entre la Provence et le Languedoc.

L’Armoire d’Uzès est un meuble provençal de petites proportions créé à la demande des riches familles uzétiennes. Celles-ci constituaient une dot pour les jeunes filles qui allaient se marier. L’Armoire d’Uzès devait donc être destinée à accueillir le trousseau de ces jeunes mariées.

L’Armoire d’Uzès, mobilier régional d’exception

Alliance d’élégance et de raffinement, ce petit meuble régional est fabriqué en bois blanc (tilleul, sapin ou châtaignier) afin d’être peint. D’inspiration italienne, l’Armoire d’Uzès présente une décoration sur fond noir ou vert sombre afin de souligner les ornementations dorées :
• représentations des attributs du mariage
• initiales dorées et portraits des futurs mariés
• filets et frises substituant les moulures
• couronne, rubans, palmes
• petits paysages à l’italienne.

A l’origine plutôt sobre, l’Armoire d’Uzès évolue à partir du XVIIIe siècle et s’enrichit de décors plus travaillés : arabesques dorées plus complexes, floraison de couleurs, corniche plus arrondie, traverses basses chantournées, nouveaux motifs en façade : fleurs, feuillages abondants, anges.

Fleuron des antiquités régionales, l’Armoire d’Uzès reflète avec subtilité la richesse des intérieurs provençaux datant des XVIIe et XVIIIe siècles.

Les Objets de Vertu

© Le Curieux

Objets de vertu : symbole de luxe et de raffinement

Collectionneurs et amateurs de finesse cultivent une même passion pour les objets de vertu, petits chefs d’œuvres délicats du XVIIIe siècle.

Les objets de vertu : des œuvres d’art exceptionnelles

Source de convoitise et de contemplation sans pareil, les objets de vertu sont le fruit d’un travail d’exception émanant de l’orfèvrerie et de la joaillerie. De dimension petite ou moyenne, les objets de vertu séduisent par leur raffinement et leur charme absolu.

Au delà de leur esthétisme remarquable, les objets de vertu incarnent une symbolique, l’appartenance à un statut social ou une marque de distinction provenant de la haute classe. Ces chefs d’œuvre de virtuosité et de technique valorisent la quintessence de l’Art décoratif signé par les plus grands Artisans d’Art du XVIIIe siècle.

Vertu : antiquités et objets de haute curiosité

Ces objets d’Art, appelés aussi « objets de haute curiosité », rivalisent de raffinement et d’ornementations luxueuses. Destinés à une clientèle riche et érudite, les objets de vertu sont parés d’or, de pierres précieuses, de nacre, d’ivoire ou d’écaille, parfois surmontés de miniatures romanesques.

Les amateurs avertis de raffinement collectionnent avec passion les objets de vertu :
– boites à tabac, tabatières
– bonbonnières, objets de couture
– boites à mouches, boîtes à fard
– nécessaires à parfum
– boîtes à bijoux
– boîtes à musique, oiseaux chanteurs
– bijoux anciens, épingles à chapeaux
– verrerie, porcelaine, argenterie
– objets de charme…
>> Objets de Vertu

Objets de vitrine par excellence symbolisant la mode et l’élégance d’antan, les objets de vertu et de curiosité nous invitent à la contemplation et à l’émerveillement.

Exposition

Boîtes en or et objets de vertu

Du 21 Décembre 2011 au 6 Mai 2012
Musée Cognacq-Jay – 75003 Paris 03
À l’occasion de la sortie du Catalogue raisonné des Boîtes en or et objet de vertu, le musée Cognacq-Jay expose son importante collection de boîtes

>> Détail de l’exposition

Antiquaires spécialisés dans les objets de vertu


Le Curieux Spécialiste de l’éventail et des nécessaires

Sebl’Antic Objets de Vertu, Opalines, Bijoux de Charme
Ghislaine Chaplier Objets de collection et de curiosité

 

Cheminées anciennes : une cheminée pour chaque style et chaque époque

Aussi diverses qu’esthétiques, les cheminées anciennes nous invitent à un voyage dans le temps au cœur de l’histoire des antiquités.

Les cheminées anciennes : un cachet authentique

Les antiquaires, artisans d’Art et marchands de matériaux anciens proposent aujourd’hui une large gamme de cheminées anciennes pour la décoration d’intérieurs classiques ou contemporains. Considérée aujourd’hui comme joyau des antiquités de France, la cheminée ancienne valorise le cachet exceptionnel d’un style, d’une époque ou d’une région.

Sources d’inspiration pour les décorateurs d’intérieur, objets de convoitise pour les amateurs de matériaux anciens, d’Art et d’Antiquités, les cheminées anciennes sont le reflet de toutes les époques et de tous les styles de l’histoire de l’Art : cheminée Louis XVI, cheminée ancienne de style Régence, cheminée ancienne régionale, cheminée d’époque Napoléon III…

Antiquités : tour d’horizon des cheminées anciennes

En fonction de l’époque et du style, les cheminées anciennes peuvent être réalisées en pierre locale, en marbre, en calcaire ou en noyer. Les connaisseurs en cheminées anciennes sauront distinguer la singularité de chacune de ces cheminées d’époque : cheminée ancienne Renaissance à demi-colonnes, cheminée provençale du XIXe, cheminée Empire à modillons, cheminée ancienne demi-lune, plaque de cheminée du XVIIIe siècle

Autrefois, on considérait la cheminée comme le « foyer » de la maison autour duquel toute la famille se réunissait. Aujourd’hui, la cheminée ancienne pérennise le charme authentique des matériaux anciens au cœur des maisons designs et contemporaines. Les antiquaires et artisans d’Art cultivent un enthousiasme pour les cheminées anciennes et pérennisent ce voyage dans l’histoire des antiquités grâce à leur passion et leur expertise.

Last updated by at .